Trois points essentiels :
• Léna Situations a couvert les César et les Oscars, suscitant des réactions mitigées.
• Elle a défendu sa présence en mettant en avant l’accessibilité qu’elle offre au public.
• Le débat sur la place des influenceurs dans les événements culturels traditionnels continue.
La créatrice de contenu Léna Situations, suivie par 4,8 millions d’abonnés sur Instagram, s’est retrouvée au centre d’une nouvelle polémique après avoir animé le tapis rouge des César le 28 février et celui des Oscars le 2 mars. Si certains saluent son dynamisme et sa capacité à toucher un large public, d’autres remettent en question sa légitimité dans le monde du cinéma.
Léna Situations répond aux critiques
Face aux commentaires négatifs qui ont émergé sur les réseaux sociaux, Léna Situations a pris la parole le 2 mars via Instagram pour exprimer son point de vue. Elle a affirmé être consciente des réactions mitigées, tout en insistant sur l’importance de rendre ces événements accessibles à une audience plus large.
Elle a également mis en avant le succès de ses interviews aux César, suivies par 1,2 million de téléspectateurs sur Canal+ et 350 000 vues sur TikTok.
Une controverse récurrente
Ce n’est pas la première fois que Léna Situations fait face à ce type de critiques. Sa présence à des événements prestigieux comme le Festival de Cannes ou le Met Gala avait déjà suscité des réactions similaires. Elle avait alors souligné son envie de partager ces moments avec son public et de montrer que ces cérémonies ne sont pas réservées à une élite.
Une ouverture vers un nouveau public
Malgré les critiques, Léna Situations défend sa vision d’un monde culturel plus inclusif. Elle souhaite donner une nouvelle dimension à la couverture des événements cinématographiques, en les rendant plus accessibles aux jeunes générations via les réseaux sociaux.
Ce débat soulève une question plus large sur l’évolution du journalisme culturel et sur la place croissante des influenceurs dans les événements traditionnels du cinéma. Si certains y voient une modernisation nécessaire, d’autres craignent une perte de prestige et de professionnalisme.