Procès Palmade : des revenus confortables après l’accident

La rédaction Publié par La rédaction
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Après le grave accident qu’il a causé en février 2023, Pierre Palmade fait face à la justice tout en percevant des revenus mensuels importants, principalement issus d’indemnités d’assurance et de droits d’auteur.

Le 20 novembre 2024, le procès de Pierre Palmade s’est ouvert au tribunal correctionnel de Melun. L’humoriste est jugé pour l’accident de voiture qu’il a provoqué le 10 février 2023 alors qu’il conduisait sous l’emprise de stupéfiants. Cet accident a eu des conséquences dramatiques, notamment la perte du bébé d’une femme enceinte de six mois et demi.

Une carrière à l’arrêt mais des revenus conséquents

Bien que Pierre Palmade ait cessé toute activité professionnelle depuis l’accident, il bénéficie toujours de revenus substantiels. Selon les informations révélées lors du procès par le journaliste de Marianne, Antoine Margueritte, l’humoriste perçoit environ 9 000 euros par mois, provenant de plusieurs sources :

  • 1 200 euros de la Sécurité sociale
  • 5 000 euros d’une caisse de prévoyance
  • 2 800 euros en moyenne de droits d’auteur

Ces revenus sont principalement liés à l’AVC dont Pierre Palmade a été victime peu après l’accident, alors qu’il était hospitalisé.

Un avenir professionnel incertain

Lors de son audience, Pierre Palmade a exprimé ses doutes quant à son avenir professionnel : « Je n’aime qu’une seule chose dans la vie, c’est ma vie d’artiste, écrire et jouer des comédies, et aujourd’hui, je ne suis pas sûr de pouvoir recommencer ce métier ». L’humoriste a également évoqué les effets dévastateurs de son addiction sur sa carrière et sa vie personnelle.

Une nouvelle vie loin des projecteurs

Depuis l’accident, Pierre Palmade a quitté la région parisienne pour s’installer à Bordeaux, où il mène une vie discrète. Il a vendu sa maison de Cély-en-Bière et acheté une nouvelle propriété dans la capitale girondine, à proximité du domicile de sa sœur.

Le procès de Pierre Palmade s’est conclu par une condamnation à cinq ans de prison, dont deux ans ferme. Cette sentence marque un tournant dans la vie de l’humoriste, qui devra faire face aux conséquences judiciaires de ses actes tout en continuant à percevoir des revenus confortables malgré l’arrêt de sa carrière.

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