Dans La tribu de Baba, Polska, chroniqueuse emblématique de TPMP, a fait des révélations inattendues sur les sommes perçues par Jean-Michel Maire lors d’apparitions en boîte de nuit.
Depuis l’arrêt de la diffusion sur C8 début mars 2025, les émissions phares de Cyril Hanouna, Touche pas à mon poste et La tribu de Baba, se poursuivent temporairement en ligne, avant une reprise attendue sur W9 dès septembre prochain. Lors de l’épisode diffusé le 17 mars, animé par Pascale de La Tour du Pin, Polska a profité d’une discussion informelle pour lever le voile sur les coulisses lucratives des bookings en discothèque.
Des cachets confortables pour quelques heures de présence
Les bookings consistent pour des personnalités à être rémunérées afin d’assurer l’ambiance dans des établissements nocturnes, une pratique particulièrement populaire chez les célébrités issues de la télé-réalité. Interrogée par Pascale de La Tour du Pin sur le montant perçu lors de ces prestations, Polska s’est montrée réticente à dévoiler précisément son cachet, préférant détourner l’attention sur un autre habitué du genre : Jean-Michel Maire.
Selon Polska, Jean-Michel Maire a perçu des sommes considérables pour ses apparitions en club, soulignant au passage qu’elle avait découvert tardivement qu’il avait même empiété sur sa rémunération lors de bookings communs. « Il prenait carrément sur ma part, » a-t-elle expliqué avec humour et une pointe d’agacement.
Jean-Michel Maire assume : « On est payé à ne rien faire »
Jean-Michel Maire a confirmé les propos de Polska, admettant avoir effectivement touché de belles sommes pour ce type d’événements. Même s’il précise que ces prestations remontent à plusieurs années, il décrit ces bookings comme particulièrement lucratifs : « On est très bien payé, sans vraiment rien faire. Tout est pris en charge : trajet, restaurant, boissons… On pose pour quelques photos, on reste dans le carré VIP avec du champagne à volonté. »
Lorsque le chroniqueur Jordan de Luxe a tenté d’obtenir des chiffres précis, Polska a laissé entendre que les cachets de Jean-Michel Maire dépassaient les 1 000 euros, ajoutant malicieusement : « Il mangeait beaucoup sur mon dos. »