- Jennifer Salles-Barbosa a établi un parallèle entre Éric Ciotti et le personnage de Marc dans « La Flamme ».
- Cette comparaison fait suite aux déclarations du député sur les élections municipales de 2026 à Nice.
- Le contexte politique entre Christian Estrosi et Éric Ciotti reste tendu, alimentant la rivalité locale.
Une comparaison surprenante sur les réseaux sociaux
Jennifer Salles-Barbosa, adjointe au maire de Nice, a fait une sortie remarquée en comparant Éric Ciotti au personnage fictif Marc, issu de la série parodique « La Flamme ». Cette analogie inattendue intervient après que le député des Alpes-Maritimes a tenu des propos jugés évasifs sur son éventuelle candidature aux élections municipales de 2026.
L’élue niçoise a partagé sur les réseaux sociaux une réplique culte du personnage de Marc, souvent utilisée pour souligner un manque de clarté ou une posture ambivalente. Son message a rapidement suscité des réactions, illustrant l’utilisation croissante de l’humour et des références culturelles populaires dans les échanges politiques en ligne.
Une réponse ambiguë d’Éric Ciotti sur Nice 2026
Interrogé sur ses intentions pour la mairie de Nice en 2026, Éric Ciotti a adopté une position prudente. Il a déclaré travailler sur un projet pour la ville, sans toutefois confirmer ni infirmer sa volonté de se présenter contre Christian Estrosi.
Cette posture a été interprétée par certains observateurs comme une stratégie d’attente, laissant planer le doute sur ses ambitions réelles. La comparaison avec Marc de « La Flamme », personnage connu pour son indécision et son manque de clarté, prend alors tout son sens.
Un climat politique sous tension à Nice
La rivalité entre Christian Estrosi et Éric Ciotti n’est pas nouvelle. Les deux hommes s’opposent régulièrement sur l’avenir politique de Nice et des Alpes-Maritimes. Ce dernier épisode s’inscrit dans un contexte électoral tendu, où chaque déclaration est scrutée avec attention.
En utilisant une référence humoristique, Jennifer Salles-Barbosa illustre une tendance croissante dans la communication politique : l’usage des mèmes et des clins d’œil culturels pour marquer des points dans l’opinion publique, notamment sur les réseaux sociaux.