Un panache de fumée blanche s’est élevé au-dessus de la chapelle Sixtine, annonçant l’élection du nouveau pape par les 133 cardinaux réunis en conclave au Vatican.
Le signal tant attendu : la fumée blanche
Depuis plusieurs jours, des milliers de fidèles et de curieux scrutent la cheminée de la chapelle Sixtine, guettant ce signe universel. La fumée blanche, produite par la combustion des bulletins de vote, marque la désignation d’un nouveau souverain pontife, successeur de François. Ce rituel, instauré au XIXᵉ siècle puis modernisé pour éviter toute confusion, est désormais accompagné du carillon des cloches de la basilique Saint-Pierre pour confirmer l’heureux événement.
Un conclave sous haute tension et secret absolu
Réunis à huis clos, les cardinaux ont multiplié les tours de scrutin, nécessitant une majorité des deux tiers, soit 89 voix, pour élire le nouveau chef de l’Église catholique. Chaque session de vote se conclut par l’émission d’une fumée : noire si aucun accord n’est trouvé, blanche lorsque le choix est fait. Cette tradition, suivie dans le monde entier, suscite une attente fébrile place Saint-Pierre, où des milliers de personnes patientent parfois des heures dans l’espoir d’assister à ce moment historique.
Les prochaines étapes : apparition et premiers mots du pape
Après l’apparition de la fumée blanche, le nom du nouveau pape sera annoncé publiquement depuis le balcon de la basilique. Le nouveau pontife apparaîtra alors pour saluer la foule et prononcer ses premiers mots, un instant solennel et chargé d’émotion pour les catholiques du monde entier.
Un événement mondialement suivi
L’élection d’un pape attire l’attention de millions de personnes, bien au-delà des cercles religieux. Les médias du monde entier, présents en nombre record à Rome, relaient en direct chaque étape du conclave, témoignant de l’importance universelle de ce moment pour l’Église et la société.