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Ouais Chery c’est une histoire d’aujourd’hui. Et qui commence dans le 95. Née à Gonesse il y a à peine 18 ans, d’origine guadeloupéenne, indienne et réunionnaise, Ouais Chery, son nom de scène, mi street mi girly, n’a encore sortie aucun disque. Son premier emballement ? La danse.

Il existe plein de vidéos auto-produites qui ont passées le millions de vues sur la toile où la jeune fille multiplie les cassures de rythme impeccables et les progressions lascives.

Sur un parking de banlieue, en studio, partout. Freestyle ou chorégraphiés, ses mouvements dévoilent un désir de dépasser une réalité peut-être pas toujours à la hauteur, de bousculer l’horizon également.


Elle appartient alors au Shaina Gang, collectif de danse au sein duquel elle se faire remarquer.

On lui propose d’apparaître  dans des clips. Très vite, Ouais Chery offre au monde ses créations via Instagram. En 2020, elle a déjà su fédérer 500 000 abonnés sur Instagram, qui guettent le moindres de ses ballets urbains.

De la danse à la musique il n’y a qu’un pas et la jeune fille a définitivement eu plusieurs fées qui se sont penchées sur son berceau, lui offrant également une très belle voix.


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Elle se met tout naturellement à fréquenter les studios d’enregistrement. Elle aime la pop urbaine, plutôt celle qui vient de l’autre côté de l’Atlantique : Nicky Minaj, Cardi B … et a un faible pour le naija, cette musique très rythmée, en provenance du Nigéria : P Square, Yemi Alade, Davido, Burna Boy …

Sa fan base a déjà pu entendre sur la toile son titre “Collabo”, dans lequel elle chante un amour qui n’a pas lieu d’être, entre glamour et volonté affichée d’indépendance.

Ouais Chery est une jeune fille de son époque, décomplexée et sûre de ses forces. Elle signe chez Polydor, pour écrire la suite de son aventure.


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