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MISE A JOUR : Le blog de Jean-Marc Morandini explique que NRJ12 et « La grosse équipe » affirment que le jeune homme n’a rien à voir avec la télé-réalité « Les Anges »

« Il n’a jamais fait les Anges de la Télé-réalité et n’est absolument pas au casting de la prochaine saison. Son nom est d’ailleurs inconnu par les équipes de l’émission et il n’a même jamais été parmi les candidats potentiels. Il a peut-être passé un casting un jour comme le font beaucoup de gens mais il n’a jamais été retenu pour « les Anges ».

CE QU’IL S’EST PASSE :


Le Parisien affirme qu’un futur candidat de l’émission de téléréalité « Les Anges » (saison 12) qui sera diffusée en 2020 sur NJRJ12, est soupçonné d’avoir agressé un jeune homme sourd selon le récit du Parisien. Il a été incarcéré dans l’attente de son jugement qui se tiendra le 2 septembre prochain.

Le Parisien raconte que le 23 juillet les deux hommes se croisent à la gare de Villepreux – Les Clayes. L’un des jeunes hommes estime alors que l’autre lui a jeté un mauvais regard.

Il y aurait eu, par la suite, une altercation puis une empoignade et l’iPhone X de l’un d’eux tombe par terre et se brise en morceaux. Le jeune futur candidat des Anges aurait exigé d’être dédommagé et se fait remettre en deux fois la somme de 1230 euros en accompagnant le jeune homme sourd au distributeur de billets.


La jeune victime dépose ensuite une plainte au commissariat de Plaisir. La police a arrêté l’agresseur pour le placer, par la suite, en garde à vue.

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Il travaillerait dans le monde de la nuit et une source proche de l’enquête lance que « C’est le petit minot des boîtes, chargé de faire venir la clientèle parisienne »

Le candidat de téléréalité explique au tribunal :« Je n’ai jamais forcé ce garçon à me donner de l’argent. C’était pour rembourser mon téléphone »


Le procureur estime que les faits sont odieux car le prévenu ne pouvait pas ignorer le handicap de la victime.

De son côté l’avocat du candidat explique : « Dans cette affaire, il y a tout de même deux hypothèses… un acte insupportable comme l’évoque le procureur ou celle de mon client : un dédommagement d’un téléphone cassé. Je rappelle que cela s’est produit dans une gare et un distributeur de billets sous vidéosurveillance avec des agents qui n’ont relevé aucune violence. »

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