L’annonce de Donald Trump évoquant une possible prise de contrôle américaine de Gaza a déclenché une vive réaction sur la scène internationale. Face aux critiques, la Maison-Blanche s’efforce désormais de clarifier la position des États-Unis.
Une déclaration qui provoque une onde de choc diplomatique
Les déclarations de Donald Trump sur une éventuelle ingérence américaine à Gaza ont suscité une levée de boucliers à l’échelle mondiale. Pour dissiper les tensions, la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a affirmé que Washington n’avait aucun plan pour envoyer des troupes sur place. Elle a également précisé que les États-Unis ne financeront pas directement la reconstruction de Gaza, mais collaboreront avec des partenaires régionaux.
Un rejet unanime de la communauté internationale
Les propos de Trump ont provoqué une vague de réactions fermes :
➡️ L’Union européenne a rappelé que Gaza fait partie intégrante d’un futur État palestinien.
➡️ L’Égypte, la Jordanie et l’Arabie saoudite ont rejeté catégoriquement l’idée d’une implication militaire américaine.
➡️ Le président palestinien Mahmoud Abbas a insisté sur le fait que les droits du peuple palestinien ne seraient pas bafoués.
Un impact direct sur les négociations de paix
Cette controverse intervient alors que des discussions délicates sont en cours entre Israël et le Hamas pour parvenir à un cessez-le-feu. L’intervention de Donald Trump vient complexifier un contexte diplomatique déjà fragile et soulève des interrogations sur la stratégie des États-Unis pour l’avenir de Gaza.
Malgré les tentatives de la Maison-Blanche pour apaiser la polémique, Trump maintient sa position, assurant que son plan est « bien accueilli ». Cette divergence au sein même de l’administration américaine pose des questions sur la cohérence de la politique étrangère de Washington au Moyen-Orient.