En voyageant à l’étranger, on remarque vite que les plaques d’immatriculation ne sont pas toutes blanches comme en France. Elles peuvent être jaunes, noires ou même rouges. Ce choix n’est pas esthétique mais réglementaire.
Les plaques d’immatriculation varient d’un pays à l’autre. Cette diversité intrigue les automobilistes et traduit des différences de législation et de signalisation.
Un code visuel pour identifier les véhicules
La couleur de fond des plaques permet de distinguer rapidement certains types de véhicules :
- En France, elles sont blanches à l’avant et à l’arrière depuis 2009.
- Au Royaume-Uni, elles sont blanches à l’avant et jaunes à l’arrière, afin d’améliorer la visibilité de nuit.
- Aux Pays-Bas, toutes les plaques sont jaunes, pour être lisibles même par mauvais temps.
- Dans certains pays comme la Suisse, des plaques vertes ou rouges distinguent les véhicules provisoires ou diplomatiques.
Une question de sécurité routière
La couleur joue un rôle dans la lisibilité : certaines teintes, comme le jaune, sont plus visibles dans des conditions difficiles (pluie, brouillard). Cela facilite aussi le travail des forces de l’ordre et des radars.
Une harmonisation partielle en Europe
Même si l’Union européenne a tenté d’uniformiser les plaques avec la bande bleue et les étoiles, chaque pays conserve sa propre logique de couleurs, souvent liée à ses traditions nationales.