En représailles à la mort de trois Américains, Washington a déclenché une vague de frappes massives en Syrie.
La riposte est tombée comme la foudre.
Vendredi 19 décembre 2025, les États-Unis ont officiellement lancé l'opération "Hawkeye Strike", ciblant des dizaines de positions de l'État islamique (EI) au cœur de la Syrie. Cette offensive aérienne majeure vise à anéantir les infrastructures, les combattants et les caches d'armes du groupe terroriste dans la région centrale du pays.
C'est une "déclaration de vengeance".
Le Secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, n'a pas mâché ses mots lors de l'annonce officielle : "Aujourd'hui, nous avons chassé et tué nos ennemis. Beaucoup d'entre eux."
Cette opération fait suite à une embuscade meurtrière survenue le 13 décembre 2025 près de Palmyre. L'attaque avait coûté la vie à deux soldats de la Garde nationale de l'Iowa et à un interprète civil américain.
Le Président Donald Trump avait promis une réponse "très sérieuse".
Sous le commandement de l'Amiral Brad Cooper, chef de l'US Central Command (CENTCOM), les forces américaines ont déployé des chasseurs F-15 et des hélicoptères Apache pour pilonner plus de 70 cibles identifiées.
L'objectif est clair : éradiquer toute résurgence de l'EI.
Selon le Pentagone, cette mission punitive marque un tournant agressif dans la stratégie américaine au Moyen-Orient, affirmant que les États-Unis ne laisseront aucune attaque contre leurs ressortissants impunie.
