Un conducteur de moto a été contrôlé à une vitesse de 218 km/h sur la RN31 à Avrigny, dépassant de 138 km/h la limitation autorisée.
La brigade motorisée de Clermont a procédé à cette interception le dimanche 8 juin 2025 Les gendarmes choqués : un motard à 218 km/h sur une route nationale limitée à 80., dans le cadre d’une opération de contrôle routier qui a révélé plusieurs infractions de vitesse importantes. Ce motard n’était pas le seul en excès puisque trois automobilistes ont également été contrôlés à 131 km/h, 135 km/h et 142 km/h sur cette même portion Les gendarmes choqués : un motard à 218 km/h sur une route nationale limitée à 80. de la route nationale limitée à 80 km/h.
Les sanctions ont été immédiates pour tous les contrevenants selon la gendarmerie de l’Oise. La moto en question a été immédiatement immobilisée et placée en fourrière Les gendarmes choqués : un motard à 218 km/h sur une route nationale limitée à 80., tandis que le conducteur s’est vu retirer son permis sur-le-champ, comme pour les automobilistes en infraction. Les forces de l’ordre qualifient ces vitesses de « totalement inacceptables », soulignant les risques encourus par tous les usagers de la route.
Cette intervention s’inscrit dans un contexte particulièrement préoccupant pour la sécurité routière dans l’Oise. Depuis le début de l’année 2025, 20 décès ont été enregistrés dans le département Les gendarmes choqués : un motard à 218 km/h sur une route nationale limitée à 80., soit six de plus qu’à la même période en 2024. Parmi ces victimes, cinq motards ont perdu la vie, alors qu’aucun décès de deux-roues motorisé n’avait été recensé sur la même période l’année précédente.
Face à cette hausse alarmante, la préfecture et la gendarmerie intensifient leurs actions préventives. Une journée spéciale « Prise de trajectoire » est programmée le 14 septembre prochain, proposant gratuitement aux motards des sessions de perfectionnement à la conduite et de sensibilisation aux risques. Cette initiative répond à un constat inquiétant : bien que les deux-roues motorisés ne représentent que 2 % du trafic, ils concentrent une part disproportionnée des accidents mortels dans le département.