Le gouvernement confirme sa volonté de récupérer 4,2 milliards d’euros en supprimant deux jours fériés dès 2026, sans rémunération supplémentaire pour les salariés. François Bayrou a précisé aux partenaires sociaux que les employeurs du secteur privé verseront une contribution à l’État, calquée sur le modèle de la journée de solidarité.
La CFE-CGC dénonce « une arnaque absolue » par la voix de son président François Hommeril, qui estime que « le patronat gagne autant que l’État et c’est les salariés qui paient tout ». Le Premier ministre laisse aux syndicats jusqu’au 30 septembre pour négocier, avec une réunion prévue le 1er septembre.