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Leïla Bekhti est en couverture du nouveau numéro de Vanity Fair. Une image cinématographique, saisie dans un quartier qui pourrait se trouver à New York, par la photographe Lou Escobar. Dans le long entretien qu’elle donne à Vanity Fair, elle se confie sur les rôles de sa vie, sa bande d’amis, ses souvenirs et aussi le couple qu’elle forme avec Tahar Rahim.

Dans ce numéro aussi, les grandes enquêtes qui font la singularité de Vanity Fair. L’une sur le vol de l’œuvre signée Banksy réalisée sur une porte du Bataclan après les attentats du 13 novembre ; Vanity Fair a même retrouvé et interrogé l’un des principaux suspects dont le procès doit se tenir dans quelques jours. Une autre enquête sur le groupe Wagner, ces mercenaires engagés par la Russie pour semer la terreur et l’effroi dans les zones de guerre, comme en Ukraine aujourd’hui. Ou encore une série de photos prises à Odessa au début du conflit, signées par le photographe de Magnum Alex Majoli.

Comme Vanity Fair c’est aussi Hollywood et la mode, ce numéro propose un long papier consacré à Sydney Sweeney, l’autre star de la série Euphoria, tandis que Deva Cassel pose devant l’objectif du photographe de mode Nik Hartley, aux côtés d’un désormais célèbre chat Bengal, le même qui faisait déjà la couverture de Vanity Fair dans les bras d’Isabelle Huppert en février 2019…


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