Victime de son succès sur TikTok, l'étudiante est harcelée et doit être protégée par un agent de sécurité.
Le rêve numérique a viré au cauchemar.
À Laval, la direction locale du Carrefour ne s'attendait pas à ça. Ce qui n'était qu'une danse bon enfant entre collègues a explosé en une crise ingérable en l'espace de 48 heures.
Léonie paie le prix fort.
La situation est totalement hors de contrôle.
Vidéos à 10 millions de vues, fans hystériques et photos volées en plein travail : le magasin est assiégé. Angélique Durchon, la directrice de l'hypermarché, a dû trancher en urgence pour éviter le drame.
Un vigile ne quitte plus l'étudiante d'une semelle.
L'enseigne tente désespérément d'éteindre l'incendie.
Même le compte aux 161 300 abonnés a sauté temporairement face à l'afflux de faux profils. Ilham Chairi Roussel, la Community Manager, appelle au calme devant ce délire collectif : « C'était du divertissement, cela doit le rester. »
Le groupe dirigé par Alexandre Bompard découvre ici les risques physiques de la viralité.
