VIDÉO Incident à Skyrock : Fred Musa répond à Booba après l’affaire des insultes dans Planète Rap

La série « Validé » sera de retour pour une troisième saison

Vendredi dernier, après un incident sur l’antenne de Skyrock, l’animateur de l’émission, Fred Musa, adresse un message à Booba qui avait taclé la radio Rap.

Lors de l’émission consacrée au rappeur RK, un individu qui se trouvait dans le studio à prendre le micro et a violemment insulté le directeur général des programmes de la station Laurent Bounneau.

« On est là Fred. Et nique la grand-mère à Laurent Bouneau, fils de pute ! » lance le jeune homme.

Réponse de Fred Musa : « Pas très intelligent, ce que tu viens de faire, garçon. J’apprécie à moitié franchement ce qui vient de se passer là ! Je trouve ça pas sympa du tout. Si t’es pas content, tu viens pas. Merci de le sortir« 

RK a affirmé qu’il ne le connaissait pas.

« Eh bien écoute, il dégage. Comme ça on va respirer un peu plus » termine Fred Musa.

L’INCIDENT A l’ANTENNE

Booba, qui est en guerre contre Skyrock depuis de nombreuses années a décidé de régler ses comptes sur Instagram en rapport avec cette « affaire ».

« On te le dis en face puto! Par contre ton Boss me l’a jamais dis en face que ma musique c’était pour “le village”. Ne me clash jamais c’est mauvais pour la santé ni toi ni ta pute de Maître raciste!!! @fredmusaofficiel@laurentbouneauLes plus grands imposteurs que le rap ait jamais porté!!! ?‍☠️? #brigadierMusa »

L’animateur de Planet Rap répond à Booba dans un post sur Instagram

« Une fois de plus, je tiens à remercier mon meilleur attaché(e)?  de presse @boobaofficial de m’avoir apporté autant de followers en une journée, bon je ne cache pas que l’apprendre directement par lui aurait été plus palpitant, mais son courage fait qu’il m’a bloqué depuis plusieurs mois et je n’ai pas accès à son compte. #naipeurminouchette .Tout ça n’est pas très grave, mes valeurs vont plus vers Laurent Bouneau qui m’a toujours aidé, même dans les moments difficiles, à l’inverse de mon attaché, et de son humeur changeante. Arrêtons là trop point n’en faut pour un noyau. »