Gims se verrait bien politicien dans quelques années
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Gims se verrait bien politicien dans quelques années

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Gims se verrait bien politicien dans quelques années

Gims était l’invité d’Alain Marschall et d’Olivier Truchot dans « Les Grandes Gueules » ce mercredi à 11h sur RMC et en simultané sur RMC Story. Il a notamment évoqué un éventuel avenir en politique et est revenu sur l’incendie de son yacht sur lequel il se trouvait le 26 août dernier au large de la Corse.

À propos de son éventuel avenir en politique « La politique ?

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« Pourquoi pas dans 10-15 ans, peut-être. Ça ne me dégoûte pas, il faut bien que quelqu’un qui s’y colle. Macron un bon président ? Je pense que c’est un boulot difficile. Je pense qu’on est un peuple compliqué. Mais ça m’intéresse, pas pour le pouvoir, pas pour tout ça, mais pour servir. Je n’ai rien à y gagner mais il faut le faire. Je ne suis pas pressé du tout mais ça m’a déjà traversé l’esprit (…) Combien de fois on m’a reproché de ne rien faire pour le Congo, « le pays est en feu, en guerre, Gims tu fais rien » c’est comme si on parlait à un député ou à un ministre, c’est la même chose. Je pourrais m’engager en France et au Congo, j’ai la double culture. »

À propos de l’incendie de son yacht cet été

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« Est-ce qu’on a voulu me piéger ? Je me suis posé un tas de questions (…) On n’a pas la cause, tout se passait bien, ciel bleu, eau turquoise, magnifique, on se baignait. On remonte sur le bateau, on reprend la route et d’un coup ça sent le cramé. On commence à chercher ce qu’il se passe, et de la fumée noire commence à sortir de l’arrière du bateau (…) Le capitaine avait les yeux rouges, en train de crier « mayday, mayday », des mots que je n’avais jamais entendus en vrai, que dans les films. Les gilets de sauvetages avaient brûlé, tout avait brûlé. J’ai sauté, il y avait un bateau pas loin, qui est arrivé, qui était en train de nous appeler, de nous dire de sauter, que ça allait exploser, de quitter le bateau. Donc je plonge, je nage vers le bateau qui était à une centaine de mètres parce qu’il avait peur de l’explosion. « 

Stéphane Larue
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