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Et Stéphane Guillon répond à la lettre de Thierry Ardisson : « Il faut accepter d’être chambré en retour »

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Et Stéphane Guillon répond à la lettre de Thierry Ardisson : "Il faut accepter d'être chambré en retour"

Stéphane Guillon a qualifié l’animateur de « Salut les Terriens », Thierry Ardisson,  de « Ringard » mais a aussi expliqué qu’Ardisson pleurait sur commande et que, parfois « On coupe et on refait la séquence pour qu’il pleure exactement là où il a décidé de pleurer puisqu’en conférence de rédaction on décide que Thierry pleure à tel moment ».

Ardisson lui avait répondu dans une lettre ouverte : « Stéphane, après ton échec au cinéma, puis ton échec au théâtre, il ne te reste plus que l’invention de fake news pour exister médiatiquement. En dix ans, tu n’as jamais participé à aucune conférence de rédaction de « Salut les Terriens » et tu n’as pas davantage été présent lors des tournages des témoignages. En revanche, tu gagnais 10.000€ par semaine et je comprends qu’aujourd’hui cela te manque cruellement. Mais de là à mentir et à me dénigrer sans raison et sans preuve, il y a une limite que tu franchis dans la honte. »

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Et, c’est sur le Huffington Post que « l’humoriste » lui répond : 

« Merci pour ta lettre. Content d’avoir de tes nouvelles, je n’en avais pas eu depuis mon éviction de la chaine en juin dernier, alors tu imagines ma surprise!

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Merci également de te faire du souci pour ma carrière d’acteur. Je tiens là aussi à te rassurer. Je n’ai jamais autant travaillé depuis mon départ de chez toi. C’est fou comme les gens me désirent depuis que je ne suis plus à tes côtés.

Pour le reste, tu as été un modèle pour moi Thierry. Le Thierry de « Rive Droite, Rive Gauche », de « Tout le Monde en Parle », le Thierry sulfureux, grand gueule, passionné… alors quand les salariés de i>Télé ont été licenciés, quand Bolloré censurait la chaine, vidait sans ménagement des gens de grande qualité, je pensais bêtement que tu serais à mes côtés, que tu viendrais manifester avec moi, que mes vannes te feraient rire, que tu t’insurgerais toi aussi. Tu as préféré ne rien dire, garder ta place et ton salaire, celui que tu me reproches aujourd’hui d’avoir touché indûment. »

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Stéphane Larue
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